vendredi 27 janvier 2012

Etat des lieux, épisode 2

Je vous ai expliqué, dans l'épisode 1 de l'état des lieux, que la carrosserie de l'Isetta Velam et la plupart de ses composants étaient ''sauvables''. A priori, le budget à consacrer à la restauration semblait devoir rester inférieur à celui que j'aurai engagé si j'avais acheté une Isetta Velam roulante. 
Mais l'examen de l'état des dessous m'a ramené à la raison : y a du boulot ! Et je ne m'en sortirai pas sans vider une partie de ma tirelire ...
Par mesure de sécurité, je changerai les flectors. Un pot d'échappement neuf est à prévoir.


- A l'arrière, le faux châssis et ses composants sont globalement préservés de la rouille par un généreux cambouis composé d'huile et de boue. Pourtant, le moteur est bloqué (j'y reviendrai dans un prochain billet).
Les amortisseurs sont bons à jeter. Si j'en crois le compteur ils n'ont pourtant encaissé que 17.000 kilomètres.
Des auréoles aux extrémités du carter du pont laissent penser que les joints d'étanchéité (7, 31 et 55 sur la planche transmission - cliquez dessus pour l'agrandir) sont à changer.

- A l'avant, l'oxydation règne.
Les anneaux Neiman sont cassés, il faudra changer les joints de pivot (31 et 34 sur la planche train avant et frein) et deux butées (20, sur la planche à droite - cliquez dessus pour l'agrandir).
A changer aussi, le réservoir de liquide de frein, les durites en caoutchouc ainsi que les caches poussières des cylindres de roue. Le maître cylindre, particulièrement exposé aux projections, nécessitera au minimum une réfection.


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